L’entreprise s’est considérablement complexifiée au cours des dernières décennies mais son principal objectif reste immuable : produire et commercialiser afin d’en dégager un profit. Fort est de constater que l’écosystème ‘’start-up’’ a fait preuve d’une remarquable amnésie en privilégiant, à coups de levées de fonds spectaculaires, l’hypercroissance à la rentabilité. La hausse des taux d’intérêt et l’assèchement des liquidités sur les marchés vont sonner la fin de la récréation, la fin de l’argent facile, la fin des valorisations extravagantes en regard des pertes abyssales ! Ne serait-ce donc pas tout simplement la fin du monde fantasmé de la ‘’start-up nation’’ et le retour aux fondamentaux si chers à Cyllene ?