Nous voici déjà fin mars et malgré l’espoir lié à l’éloignement de cet ami viral qui nous a si bien occupés ce dernières années, le moral n’y est toujours pas avec un ciel qui s’assombrit à l’est. Le monde semble avoir du mal à sortir de sa morosité, il est question de stress, de soutien psychologique, de burn-out, tout est anxiogène sans qu’aucun ne puisse dire de quel mal il souffre réellement… Nous sommes en bonne santé, nourris, logés et divertis. Est-il bien raisonnable de se plaindre si l’on compare notre quotidien à celui d’un ukrainien ?